Celui qui voulait écrire anglais
Sanctuaire des Annapurnas, Népal
Pendant notre voyage, nous avons rencontré des gens de toutes nationalités : des hollandais, des canadiens, des allemands, des américains, des espagnols, des français bien-sur (les plus représentés sur le trek) et même un namibien.
Pour mettre tout le monde d’accord, il faut une langue commune qui est bien évidemment l’anglais.
Le truc, c’est que le népalais pratique souvent un anglais bien à lui.
On trouvera ainsi au détour d’un menu ou d’une pancarte :
– please puss call bell thang you
– omlete, omelet
– sebabuckton juice, seabokthron tea
– apricot juice
– wel come
– marks bar delighted
– potapoes
– dinning hall
– bath rooh
– ponny service
– bofalo way
– the hortn face
– snakes (snacks)
Sans compter le nombre improbable d’orthographes utilisées pour un même lieu ou une même ville.
On ne peut pas trop leur en vouloir, beaucoup ne savent pas écrire et leur alphabet est différent du nôtre. Il est déjà bien appréciable de pouvoir communiquer, même approximativement.
Mais le choix du repas laisse souvent un sourire amusé sur nos lèvres.