Ca y est, c’est décidé : direction le Népal
Tour des Annapurnas, Népal
Il y a tellement de choses à faire maintenant que c’est presque impossible de faire un choix.
Quand je dis « maintenant », c’est tant qu’on est pas trop vieux, tant qu’on a pas de gosses à charge, tant qu’on a la condition physique et surtout, tant qu’on a envie d’avoir LE frisson.
On a donc logiquement décidé de faire passer en premier les trucs qui seront difficilement réalisables si on traîne trop.
Soyez tranquilles, on ne va pas s’attaquer à l’ascension de l’Everest en duo, même si j’avoue que l’idée est plutôt tentante.
Mais il faut être réaliste ; même si nous commencions l’entraînement tout de suite maintenant, nous ne sommes pas alpinistes.
Nous laissons donc ça aux pros pour le moment, même s’il n’est pas dit que nous n’irons pas un jour taquiner ces sommets en trek organisé.
Bref, on est bien tentés par le circuit des Annapurnas au Népal, dont le point culminant se trouve à 5416 mètres, ce qui n’est pas à la portée de tous quand on sait ce que peux engendrer le mal des montagnes.
Nous en sommes donc à la phase de découverte et d’élaboration du séjour, même si certaines pistes sont déjà plus pertinentes que d’autres.
Nous partirons très certainement au mois de novembre.
En effet, les mois d’octobre et novembre, qui suivent la mousson, sont les plus favorables au trek car les cimes sont dégagées et le temps est agréable de manière générale.
Il faut quand même faire attention et se documenter correctement car dès que l’on commence à grimper, les températures descendent facilement sous les – 10°c.
Par contre, c’est encore flou en ce qui concerne le parcours.
Dans l’idéal, il faudrait qu’on arrive à tracer un circuit 3 en 1, c’est à dire faire le Tour des Annapurnas, le Jomsom Trek et le Sanctuaire des Annapurnas en moins de 25 jours.
Il faut aussi prévoir au moins deux nuits sur Kathmandou ou Pokhara pour obtenir le permis de trekking.
On partirait sans guide ni porteur, même si apparemment les locaux ne comprennent pas bien l’intérêt de porter son sac soit même, alors qu’on pourrait améliorer la qualité de vie d’un népalais en lui permettant de porter nos affaires plutôt que des charges bien plus lourdes, pour un salaire de misère. A creuser, le but étant quand même de s’attirer la sympathie des habitants et pas leurs foudres.
Maintenant, il faut nous laisser le temps d’affiner.
Nous sommes bien sûr ouverts à vos suggestions et à vos conseils.
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